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Les ombres à paupières humides à sèches ne sont pas forcément compliquées. Bien que cela puisse ressembler à une autre technique que l’on doit maîtriser pour naviguer dans un comptoir de maquillage, il vaut peut-être mieux y penser comme à un accord deux pour un. Porter à sec et vous avez votre saupoudrage standard de couleur-classique et prévisible (dans le bon sens). Mais mouillé ! Le porter mouillé ouvre un tout nouveau monde de possibilités. « Ce que vous faites, c’est faire ressortir la nature pigmentée de l’ombre », explique le maquilleur Vincent Oquendo. « Chaque fois que je mouille une ombre à paupières, c’est quand je veux vraiment qu’elle éclate, mais il faut vraiment que ce soit un produit spécial pour pouvoir l’estomper après qu’elle ait durci. Parce que très souvent, quand il prend, il y a des traces. » Personne ne veut cela. Afin d’éviter toute mésaventure d’ombre mouillée, suivez ces directives :
Produit
C’est comme une assurance, dit Vincent. » Vous doublez votre portabilité. «
Premièrement, allez avec l’évident : n’importe quelle ombre à paupières étiquetée wet-to-dry. La ligne Nars Dual-Intensity est le standout-les singles viennent dans 12 nuances chatoyantes différentes et il y a un pinceau correspondant (puis il y a la ligne Dual Intensity Blush nouvellement publiée, qui était partout dans la Fashion Week, mais c’est un produit pour un autre post). Burberry fait également quelques nuances très polyvalentes spécifiquement pour cela dans leur Wet & ; Dry Silk Shadows. La catégorie d’ombre à paupières spécifique à la technique n’est pas seulement un stratagème pour vous inciter à acheter plus de produits. « Vous ne pouvez pas utiliser n’importe quelle ombre à paupières pour cela », dit Vincent. « Certaines durciront sur le dessus et deviendront inutilisables parce qu’elles ne sont pas faites pour cela. »
Les ombres cuites sont également un jeu équitable, nous sommes fans de Baked Eye Colour Wet/Dry de Laura Mercier et du Starry-Eyed Baked Eye Shadow Trio de Lorac, notamment. Pour les joueurs plus avancés, Vincent suggère de passer aux pigments droits (MAC ou même les Pigments cosmétiques purs d’OCC). Grâce à l’hydratation supplémentaire, ils seront plus faciles à superposer avec d’autres produits. Pour un look avec plus de profondeur, essayez d’utiliser une ombre crème comme base avant de passer une ombre poudre humide. « C’est comme une assurance », dit Vincent. « Vous doublez votre portabilité. »
Pinceau
Tout dépend exactement de ce que vous voulez faire. ; « Faites attention à la résistance, » dit Vincent, en particulier si vous cherchez une couleur uniforme sur toute la paupière. « J’ai tendance à recommander un pinceau mélangeur, qui est le pinceau qui ressemble à un plumeau. Si vous le faites avec une brosse rigide, vous vous défaussez avant même de commencer. L’avantage d’un maquillage humide à sec, c’est qu’il faut mettre la bonne quantité de produit et qu’ensuite il se fond tout seul. Si le pinceau est trop rigide, l’ombre sera striée et ensuite beaucoup plus difficile à contrôler. »
En revanche, si un tightlining ou un waterlining est dans les cartes, un pinceau beaucoup plus fin est nécessaire en conséquence.
Liquide
Ne mettez pas, je répète, ne mettez pas de gouttes pour les yeux, d’eau ou toute autre sorte de liquide directement sur votre ombre à paupières. Cela va bousiller votre produit pour une utilisation ultérieure. « Dernièrement, j’ai mouillé le pinceau avec la brume apaisante Glossier pour le visage, mais le vaporisateur d’eau minérale Evian convient aux yeux sensibles », explique Vincent. Si le dessus de votre poudre se durcit un peu à cause de l’application humide, il existe une astuce pour l’enlever : Prenez une bobine de mascara propre et « exfoliez » votre poudrier, recommande Vincent. Cela ne fissurera pas le poudrier et le rendra prêt à repartir.
